Pour les annonceurs et éditeurs, le contenu de marque devient roi dans un monde dominé par Facebook.

Je parle beaucoup de contenu de marque dans mes textes, et il y a une raison pour celà. Avec Toast, nous créons l’agence de contenu de demain, une agence qui se dédie à la production de contenu de grande valeur, orientée vers des objectifs d’affaires pour les marques et les annonceurs.

Il y a un besoin pour une agence de contenu qui ne fait pas que produire du contenu, mais qui s’assure aussi d’une stratégie de distribution indépendante qui met l’accent sur l’audience qu’une marque désire rejoindre ou construire. Bien sûr, les grands éditeurs emboîtent aussi le pas en créant leurs propres studios de contenu, comme le New York Times, The Atlantic et Slate pour n’en nommer que quelques-uns, mais ils réalisent qu’une stratégie de distribution à haut rendement ne passe pas nécessairement par leurs propriétés. Et c’est la raison pour laquelle certains d’entre eux commencent à s’ouvrir et à agir comme des agences pures en produisant du contenu n’étant pas destiné à leurs propres plateformes.

Isabelle Fortier, productrice télévision ici chez Toast, a relayé un excellent article à l’équipe sur l’état actuel du contenu de marque et comment non seulement les grands éditeurs s’adaptent, mais Facebook, Snapchat et les autres créent aussi de nouvelles offres ciblant directement les marques et annonceurs en éliminant l’intermédiaire que les grands éditeurs peuvent parfois être.

Une chose que les annonceurs demandent et que ces nouveaux joueurs offrent de plus en plus: la transparence.

Dans le passé, le coût réel du média, le coût de déploiement d’une campagne, était parfois bien caché derrière un nuage de fumée et les annonceurs ne pouvaient peu ou pas savoir comment leurs dollars étaient réellement investis. Ceci change avec ces nouveaux modèles, ces nouveaux partenariats et une nouvelle structure dans la façon dont les campagnes de contenu sont créées, produites et distribuées.

Les choses évoluent à un rythme très rapide. Pas seulement du point de la vue des éditeurs, mais aussi du point de vue des agences. Je vous invite fortement à lire cet article du New York Times qui donne une excellente vue d’ensemble de la situation.