«Cessez d’interrompre les gens lorsqu’ils sont intéressés par quelque chose, et devenez ce qui les intéresse.» – David Beebe, Marriott

L’an dernier, il semblerait bien que l’intérêt des marques dans la production de films ou de séries a explosé. Et nous ne parlons pas ici de publicités plus longues, ces films et séries sont du contenu de valeur, pertinent, du branded entertainment.

Pour ne nommer que quelques marques qui ont récemment produit d’excellents films ou séries: Miu Miu (propriété de Prada), American Girl, les crèmes glacées Cornetto,  JetBlue, Johnnie Walker, Marriott, Jaguar, Samsung, Airbnb, Intel, Toshiba, LEGO, Biotherm (une production de Toast Studio).

 

Plusieurs me diront que ce sont des marques globales qui ont des budgets conséquents pour produire de tels contenus, mais les avancées récentes en capacité de production permettent dorénavant à un très grand nombre de marques de faire la même chose.

Deux grandes lignes à garder en tête, issus de l’article:

  • «En 2015, les Américains ont passé plus de temps à consommer de la vidéo digitale que sur les réseaux sociaux.»
  • «[…] des études ont démontré que 80% des milléniaux font référence à des vidéos lors de décisions d’achat.»

Qu’est-ce que les marketeurs aiment du contenu vidéo?

  • L’histoire est la leur. Ils ont le contrôle sur l’axe narratif et peuvent, tout en le gardant divertissant et pertinent, le lier à des objectifs d’affaires précis.
  • Le contenu de marque permet de favoriser un contenu qui reste la possession de la marque (owned content) plutôt que d’emprunter une audience (avec la publicité traditionnelle).
  • Il peut nourrir, tout comme le fait la publicité traditionnelle, le haut de votre pipeline de vente. À titre d’exemple, cette image au haut de ce courriel, la façon dont Marriott bâtit des offres de voyage, basées sur leur film French Kiss.

Prenez quelques minutes aujourd’hui pour en lire plus sur le sujet avec cet article, qui plonge un peu plus en détail sur la façon d’attacher le contenu a des revenus et comment la distribution est clé dans le succès de ces projets.

P.S. Une recherche par Chérie a démystifié le fait que lorsque vous verrez la mention de La Presse comment étant le premier quotidien francophone à avoir vendu une publicité imprimée, elle fait référence au journal Français La Presse, et non pas celui de Montréal.